Des nouvelles de 2 trésors du patrimoine

S’il y a des calvaires qui sont dignes d’intérêt, ce sont bien ceux qui sont cités comme étant des ‘trésors » du patrimoine. Parmi les 25 cités dans le livre «Les croix de chemin du Québec» de Jean Simard et Jocelyne Milot, certains ont été restaurés et sont impeccables. Par contre, d’autres sont dans un état lamentable. Quand j’utilise le mot lamentable, c’est que ça ne va pas bien. Samedi le 18 mai, Gérald Arbour a visité 2 de ces trésors dont nous suivons l’évolution depuis quelques temps. Le calvaire de Yamaska est le dernier à avoir été complètement restauré par l’équipe de Martin Gauthier en 2017.

Monique Bellemare (2017)

À Saint-Antoine-de-Tilly, l’heure est grave. La semaine dernière, j’ai écrit à la municipalité pour en apprendre davantage sur les projets de restauration du calvaire Aubin. À date, aucune réponse. Gérald ira d’une tentative du côté de la Fabrique ces jours-ci. Espérons que quelqu’un se réveille avant que l’édicule se retrouve au sol complètement démoli.

Gérald Arbour (2020)

À Lotbinière, l’édicule du calvaire du rang Saint-Eustache se porte mieux que le précédent. La croix et son corpus sont toujours manquants. Sont-ils en mode restauration? Espérons-le. On sait que la restauration d’un corpus est un long processus et demande à être exécuté par un expert.

Gérald Arbour (2020)
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