L’ajout des croix 21, 22 et 23 à Rouyn-Noranda permet de finaliser la publication de cette municipalité de l’Abitibi-Témiscamingue. La croix 21 est bien visible, mais ce n’est pas le cas des 2 suivantes. Dommage, car la croix no 22 est une fort belle croix de fer et son environnement ne lui rend pas justice. Même constatation pour la croix no 23.
Voici les dernières nouvelles concernant le calvaire de Yamaska. La croix est prête et la restauration du corpus est terminée. Comme la restauration de l’édicule n’est pas complétée, voici la décision qui a été prise.
En 2010, alors que j’en étais à mes débuts dans le monde des croix de chemin, j’ai fait le tour de Laval afin d’y photographier les croix. À ce moment-là, la « Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus » qui avait plusieurs restaurations à son actif, publiait sur son site web l’emplacement des croix de son territoire. Ce volet ne s’y trouve plus. J’avais trouvé la plupart des croix répertoriées, mais j’en avais raté quelques-unes dont la croix Trépanier dans le secteur de Sainte-Dorothée (no 4) et que j’ai finalement trouvée en 2013. En 2014, en me rendant photographier la magnifique croix de la famille Caron dans le secteur Saint-François (no 7) , je suis tombée par hasard sur la croix manquante de ce secteur, la croix Renaud (no 8). Par la suite, Gérald Arbour a complété les croix de l’île en y ajoutant la croix Gravel dans le secteur Sainte-Rose (no 2), la croix de l’amitié dans Saint-François (no 9) et une croix de béton dans Saint-Vincent-de-Paul (no 3).
En 2014, Jean-Yves Paquin m’a envoyé une croix trouvée dans le secteur de Chomedy (no 6). Celle croix, tout a fait différente des croix habituelles, semblait relativement récente. Hier, M. Benoit Caron m’a fait parvenir quelques informations concernant cette croix. Elle a été érigée par les occupants de la maison en hommage à Kateri Tekakwitha lors de sa canonisation en 2012. Le choix du bouleau et du cordage rappelle la culture autochtone et s’harmonise très bien avec le style de la maison qui date de 1860.
Cette fois, c’est dans Lanaudière que s’ajoute une nouvelle municipalité. Saint-Calixte s’amène donc avec 3 croix. La croix no 1 a des instruments de la passion, la croix no 2 a un coeur et une couronne d’épines à l’axe et la 3e est sans ornementation. Les 3 croix sont en bois et peintes en blanc.
Shigawake est une petite municipalité située dans la MRC de Bonaventure en Gaspésie. Gérald y a trouvé 2 croix sur son passage en mai dernier. L’une est blanche, l’autre est noire et elles ont toutes les 2 un petit crucifix à l’axe.
Les 2 nouvelles croix (nos 8 et 9) de Notre-Dame-des-Bois en Estrie ont été trouvées le mois dernier. Elles sont toutes simples et situées à 2 pas l’une de l’autre.
Ce n’est certes pas l’environnement qui nous permettrait d’identifier la croix no 2 de Magog sur cette carte postale.
Dans la banque de Gérald, j’ai trouvé 2 croix qui n’ont rien en commun à part le fait d’être plutôt spéciales.
À Saint-Alban dans la Capitale-Nationale, les cèdres commencent à se refermer sur ce calvaire pour le moins unique. Le corpus est fait de bois sculpté. Contrairement au périzonium porté habituellement par le Christ, celui-ci est porteur d’une tunique blanche à manches longues.
Dans la municipalité de Saint-François à l’Île d’Orléans, ce calvaire est tout aussi original que le précédent avec une silhouette faite de cordage et un visage dessiné sur une plaque de bois. La croix est faite de vieux bois tout crevassé.
