La nouveauté nous parvient de Jean-Yves Paquin et elle est située à Saint-Lazare-de-Vaudreuil en Montérégie. Assez inusité, il y a un linge enroulé autour de l’axe de la croix. L’explication du proprio est qu’il est là pour essuyer la sueur. Un symbole?
Denise et René partagent avec nous des reprises des croix 1 et 2 de Mercier et des croix 6, 7 et 8 de Saint-Jean-sur-Richelieu.
Claude Laplante nous revient après un long silence. Il a trouvé une grande croix de fer ayant une structure de forme triangulaire à Lac-Brome (secteur West Brome).
À Sainte-Louise dans Chaudière-Appalaches, il y a maintenant 3 croix photographiées par 3 personnes différentes. Celle de Gérald est une croix de fer dont la face est entourée d’une bordure rouge.
Une croix de montagne située sur le chemin du Sanctuaire à Sainte-Anne-de-la-Rochelle a été photographiée par Paul Turcotte. Il a également repris la croix no 13 de La Malbaie, la croix no 1 de Les Escoumins et la croix no 3 de Saint-Élie-de-Caxton qui est de retour après avoir été rapportée disparue. La nouvelle croix non-peinte est faite de bois.
Le Québec a connu un été exceptionnel. L’automne a suivi la même direction avec de belles journées ensoleillées. Que dire des couleurs qui tardent à nous quitter? Pour un chasseur de croix, c’est le bonheur total. On sait tous qu’on ne devient pas chasseur sans avoir un lien étroit avec la photographie. En plus des images classiques que ce site requiert, le chasseur prend plaisir malgré un sujet quand même assez terne à sortir des photos plus artistiques ou qui en mettent plein la vue. Gérald a profité des derniers jours pour photographier des nouvelles croix et des reprises dans Portneuf et Mégantic. Sa banque va baisser un petit peu puisque 21 reprises aux couleurs d’automne sont ajoutées dans quelques municipalités.
Les croix 1, 2 et 3 de Ascot Corner, la croix no 1 de Frontenac, les croix 1 et 4 de Saint-Basile-de-Portneuf, 13 croix de Saint-Raymond-de-Portneuf (partie 1) (partie 2) identifiées 2016 dans le diaporama et les croix 2 et 4 de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier sont un plaisir pour les yeux.
Le début, c’est pour une nouvelle municipalité sur le site : Dupuy en Abitibi-Témiscamingue. Hier, c’était pour moi (et pour d’autres aussi) une déception que d’apprendre que la croix du Petit-Champlain à Québec était l’oeuvre des Apôtres de l’Amour Infini. Cette fois, il s’agit d’une croix provenant du sanctuaire Notre-Dame-des-Pauvres où la Vierge serait apparue sous ce vocable. Ben de la misère avec ces histoires…
La fin est pour une 11e et dernière croix à Sainte-Clotilde-de-Horton, du moins jusqu’à présent. On ne sait jamais, des découvertes sont toujours possibles. Il s’agit d’une croix de bois très bien entretenue.
Gérald est revenu de son voyage dans le Bas-Saint-Laurent en août dernier avec une multitude de croix en reprise. Les photos ajoutées sont pour les croix 3, 5, 7, 8 et 9 à Saint-Mathieu-de-Rioux. Un bon changement de couleur pour la croix no 8. Repeinte ou refaite? L’environnement de la croix no 9 a été modifié. Un débroussaillage qui fait du bien.
Un des grands plaisirs de Paul dans la vie est de s’acheter des livres. Récemment, il a mis la main sur « Curiosités de Québec » publié aux Éditions Gid. On y parle de la croix (no 3) située dans le quartier Petit-Champlain à Québec. La croyance populaire veut que cette croix commémore l’éboulis survenu dans la soirée du 19 septembre 1889 et qui a fait 40 morts, 30 blessés et détruit 7 maisons. La réalité entourant la présence de cette croix n’a toutefois rien à voir avec la catastrophe de 1889. En fait, le terrain et la petite maison qui s’y trouve sont la propriété de l’ordre des Apôtres de l’amour infini, qui y exploite la « librairie Père Frédéric » située juste à côté. Lorsque l’ordre a acquis cet emplacement au début des années 1980, la communauté y a placé cette croix comme elle le faisait partout où elle s’établissait.
Je me suis rendue à Rougemont voir le nouveau calvaire (1b) qui a été mis en place en septembre dernier. Le calvaire en soi n’a rien de particulier, mais son environnement est spécial. J’avais noté dans un billet précédent que les visiteurs pouvaient laisser une trace de leur passage en signant sur les roches au pied de la croix. Un crayon y est attaché à cet effet. Il y a même une grosse pierre où on a fixé une petite coquille en métal et on invite les pèlerins qui ont marché Compostelle à signer leur nom. Quelques-uns y sont déjà.
