Je vous invite à lire les 2 liens mentionnés dans le commentaire de Rolland Bouffard.
Un coup d’oeil sur quelques trésors
Dernièrement, Gérald a visité quelques trésors du patrimoine religieux du Québec, parmi les 25 sélectionnés par Jean Simard. Les trésors sont tous des calvaires placés sous un édicule et dont le corpus est en bois sculpté.
On se souviendra qu’en septembre 2019, le magnifique calvaire de Saint-Rémi, nouvellement restauré, avait été vandalisé. Croix, corpus et édicule ont été endommagés. On ignore ce qu’il adviendra de cette richesse patrimoniale.

En 2019 également, le calvaire de Saint-Germain-de-Kamouraska était victime de vandales. Cette fois, c’est le corpus qui a subi les dommages. Il a été réparé depuis, et lorsqu’il sera de nouveau en place, une caméra de surveillance sera installée afin de dissuader les éventuels malfaiteurs. Voir photos dans le journal Le Placoteux.

À Saint-Antoine-de-Tilly, les choses ne se sont pas améliorées. Le calvaire est toujours à l’abandon.

Deux calvaires sont érigés à Sainte-Anne-de-la-Pérade. Le no 1 est dans un piteux état alors que le no 2, restauré il y a quelques années, est en pleine forme.


On peut dire que le calvaire de Trois-Rivières Ouest se porte merveilleusement bien pour ses 200 ans. Il a été restauré en 2009. L’endroit est accueillant et fort bien entretenu.

Un gros lot
Non pas que mon dossier « Nouvelles » soit si volumineux, mais l’occasion de publier 4 nouveautés du coup ne se présentera sûrement pas de sitôt. La municipalité de Saint-Côme-Linière dans Chaudière-Appalaches était déjà riche de 12 croix avant l’ajout des 4 croix du jour.
La croix no 13, faite de métal de forme cylindrique est passablement envahie par la rouille. On y retrouve quelques instruments de la passion. On remarquera que la croix n’est pas orientée vers le chemin mais plutôt vers les champs.

Vous risquez de manquer la croix no 14 tellement elle est discrète avec son délicat contour de métal.

Les croix nos 15 et 16 sont assez semblables. Elles sont faites de bois, peintes en blanc et sans ornementation.


Une belle croix de béton à Très-Saint-Sacrement
Les nouveautés qui sortent de l’ordinaire sont difficiles à retenir dans mon dossier identifié « Nouvelles ».
Photographiée lundi entre deux averses, cette belle croix est située sur le 5e Rang à Très-Saint-Sacrement en Montérégie. La croix est entièrement faite de béton à l’exception de la niche qui est faite de bois. Celle-ci est déposée sur une base de béton moulée à même la hampe.



Située à proximité de Très-Saint-Sacrement, Gérald a constaté que la croix no 2 de Howick commençait à manquer d’amour. La base de béton est aussi passablement effritée.

Croix rapportées disparues :
La croix no 9 de Sainte-Anne-des-Plaines
La croix no 4 de Drummondville, secteur Saint-Nicéphore
La croix no 2 de Montpellier
L’Île aux Oies
L’île aux Oies est une grande île inaccessible au public. Elle fait partie de l’archipel de l’Isle-aux-Grues. L’archipel appartient à la municipalité de Saint-Antoine-de-l’Isle-aux-Grues. Le travail a amené Simon Pratte à se rendre sur l’île aux Oies. Il a donc repéré les 3 croix qui s’y trouvent. Ce sont des croix simples. Deux sont faites en rondins et une en métal.



À la maison et jardins Antoine-Lacombe
Sur le terrain de la maison et des jardins Antoine-Lacombe à Saint-Charles-Borromée, se trouve une croix de bois de type simple. Selon l’équipe de travail de la maison, cette croix ne serait pas à son emplacement d’origine, mais aurait été déplacée sur le site actuel. On ignore son lieu d’origine.
La croix a été rapportée par Jean-François Léveillé et visitée également par Gérald Arbour.
