Dimanche dernier, un fervent amateur du patrimoine québécois (mon fils Pascal pour ne pas le nommer), est passé devant le calvaire no 1 de Saint-Hyacinthe. Il a remarqué que la croix n’était plus en position verticale, mais bien étendue sur des chevalets. Gérald Arbour, également féru de notre patrimoine, s’est rendu sur place ce matin afin de vérifier l’hypothèse d’une possible restauration. C’est confirmé.