Ham-Nord dans le Centre-du-Québec reçoit sa 2e croix. Toute simple, sans ornementation, la croix est faite de bois et peinte en blanc.

La croix no 4 de Saint-Flavien ainsi que la croix no 7 de Saint-Gilles ne sont plus en place.


Ham-Nord dans le Centre-du-Québec reçoit sa 2e croix. Toute simple, sans ornementation, la croix est faite de bois et peinte en blanc.
La croix no 4 de Saint-Flavien ainsi que la croix no 7 de Saint-Gilles ne sont plus en place.
La croix no 3 de Saint-Janvier-de-Joly a subi une transformation extrême. Sur la croix d’une très grande simplicité déjà en place, on a fixé une croix plus petite et porteuse d’un magnifique corpus polychrome. Gérald, qui a fait cette découverte dans la journée d’hier, a été fortement impressionné par la qualité de l’oeuvre. D’après lui, il y a de fortes chances que la croix provienne d’un édifice religieux. Il serait intéressant d’en connaître davantage sur ce désormais calvaire de Saint-Janvier-de-Joly qui est en excellent état même s’il ne semble plus très jeune. Si jamais un visiteur a la chance de s’entretenir avec le propriétaire des lieux, on pourra connaître avec certitude l’origine du calvaire.
La croix no 2 de Yamaska était indiquée comme n’étant plus en place en 2015. Ce qu’on ignorait, c’est que la croix (en mauvais état) avait été achetée par Marlène Trottier et André Théroux. Le couple réside à Notre-Dame-des-Neiges dans le Bas-Saint-Laurent. André a refait la croix en bois de cèdre. Elle est tout à fait identique à la précédente. On peut maintenant voir cette magnifique croix sur le chemin de la Grève-Leclerc à Notre-Dame-des-Neiges. Merci à Marlène et André de contribuer à la sauvegarde de cet élément de notre patrimoine.
Dans un article publié dans « L’Écho de Maskinongé » le 24 avril dernier, il était question du calvaire de Louiseville. L’état lamentable de celui-ci nécessitait une restauration dont le coût approximatif était de 13 400$. Un appel a été lancé afin de trouver les fonds nécessaires pour sauver cet élément du patrimoine religieux en place depuis 1886.
L’appel a été entendu. Un généreux donateur qui désire conserver l’anonymat, a accepté de défrayer le coût de la restauration. Quel beau geste! D’ici la fin de l’été, on pourra voir le calvaire entièrement restauré.
« L’Écho de Maskinongé » 20 juin 2019.
La journée d’hier a été particulièrement riche en bonnes nouvelles. Premièrement, il faut souligner le retour d’une précieuse collaboratrice du site : Claude Labrecque. Absente depuis plus d’un an, Claude est de retour avec une bonne nouvelle. La restauration du calvaire no 3 de Saint-Gervais est complétée. L’édicule, refait en 2017, est un peu différent du précédent. La croix aux extrémités à motif cruciforme est solidement ancrée dans une base en acier. Les 3 statues, qui occupent une place importante de par leur dimension, ont été repeintes. La statue de Marie-Madeleine n’est pas sans rappeler celle qui se trouvait au pied de la croix disparue de Sainte-Madeleine.
Une 8e croix a été ajoutée à Manseau dans le Centre-du-Québec. C’est une croix toute simple avec 2 échelles et 2 coeurs comme ornementation.
La croix no 3 de Saint-Henri dans les Appalaches a subi quelques modifications. Elle a d’abord été repeinte, l’éclairage a été enlevé et un titulus a été ajouté.
Le calvaire no 1 de Sainte-Claire dans les Appalaches présente un peu moins de rouille qu’en 2014. On remarque une inscription sur la base de béton. Le nom Couture y est gravé.